Osvaldo Labbé Waghorn

Un photographe Chilien découvert par hasard. Une petite série que j'ai adoré .... Je vous laisse découvre quelques photos de cet artiste Osvaldo Labbé Waghorn :







MARC LAGRANGE


Le portrait de nu oniriste, façon cinéma.

Le photographe belge Marc Lagrange s'est spécialisé dans le portrait et le nu dès les années 80 pour en explorer la sensualité. Pas de révélation crue façon Helmut Newton, encore moins de trash, pas de romantisme non plus, plutôt un soupçon de décadence assumée et soigneusement mise en scène. 

Ses portraits de nu tendent vers le fantasme, où le sujet désiré devient objet, comme prisonnier d'une mise en scène étudiée. « Mes décors sont des lieux de rêve, confirme Marc Lagrange, des endroits où l'imaginaire l'emporte. Je donne à mes idées autant d'espace que possible. »

Partisan de la photo analogique et même du Polaroid, Marc Lagrange s'est fait connaître avec sa série « And God created... Women ». 


Clémentine Gaspard, mai 2012









































Website : MARC LAGRANGE

FATALES - RECUEIL PHOTOGRAPHIQUE


NATH-SAKURA et CLAIR OBSCUR




"Fatales" est un recueil de Nath-Sakura et Clair Obscur. Il comprend 40 photos de Nath-Sakura et
40 photomanipulations de Clair Obscur. Il est préfacé par Christophe Mourthé et acceuille les textes de Jean-Paul Gavard-Ferret.

96 pages
Couverture rigide
Dos carré
21x14,3 cm
Papier 300 grammes
ISBN : 978-2-9542917-0-3

LE LIVRE EST ACTUELLEMENT EN PRE-COMMANDE AU PRIX PREFERENTIEL DE 20 €.

Il sera envoyé à votre domicile à partir du 31 octobre.

Après cette date, le livre sera accessible dans le commerce (FNAC notamment) et sur le site en ligne de Nath-Sakura.

Pour le commander, cliquez le lien    RECUEIL FATALES

OLEG DOU




Oleg Dou, 28 ans, ce Moscovite à la silhouette d'elfe se sert avec brio des logiciels de retouche pour sublimer ses pensées. Ainsi de ces visages - dont seuls les yeux trahissent la vie - qu'il recouvre d'une multitude de pansements gracieux, comme un chirurgien esthétique sous acide en quête d'indulgence. Ces collages numériques, assez déroutants vus de près, provoquent un certain embarras. A la fois présentes et absentes, ces femmes affichent l'ironie de leur situation, aussitôt dévisagées, déjà défigurées. Oleg Dou, lui, a une cicatrice transparente sur le front. «Un vieil accident de palissade, dit-il en souriant, très fréquent en Russie

István (Etienne) Sándorfi

En tant que directeur d'IBM en Hongrie, le père d'Étienne Sandorfi fut considéré comme sympathisant américain durant le régime communiste, emprisonné puis condamné a mort, tandis que le reste de la famille était déportée dans un village hongrois. Pour éviter l'exécution du patriarche, la famille profita de la révolution de 1956 pour s'enfuir et se réfugier en Autriche, en Allemagne puis en France. 


Hautement marqué par violence dont il fut le témoin et par les aberrations des systèmes politiques plus généralement, Sandorfi se réfugia dans le dessin, puis dans la peinture à l'huile dès l'âge de 12 ans. L'art devint le fil conducteur de sa vie au détriment des études, et bien que son père lui imposa de faire les Beaux-Arts qui lui confèreraient un statut plus "respectable", il avoua lui-même n'y avoir rien appris. Rapidement, il n'assiste plus au cours, mais sort tout de même diplômé et même très bien noté de la prestigieuse école. Dès la très jeune adolescence, il vit déjà partiellement de son Art, vendant croquis et dessins a ses camarades et professeurs. À son entrée aux Beaux-Arts, il a déjà une première exposition individuelle a son actif dans une galerie parisienne.


En 1973, une exposition au Musée d'Art Moderne de Paris contribua à faire de Sandorfi une valeur montante de l'hyperréalisme, bien que lui-même ne se reconnaisse pas dans ce mouvement. Suivront de nombreuses expositions individuelles en France, Allemagne, Belgique, États-Unis, Hongrie... Une exposition triomphale a Budapest en 2006 marqua le retour de Sandorfi dans son pays natal, avec beaucoup d'émotion. En mai 2007, le MODEM (Centre des Arts Modernes et Contemporains) de Debrecen, Hongrie, choisit Sandorfi pour son ouverture avec une rétrospective de son travail, très largement acclamée par la critique.



Etienne Sandorfi
Naissance12 juin 1948
BudapestHongrie
Décès26 décembre 2007 (59 ans)
ParisFrance
NationalitéHongrois Drapeau de la Hongrie, Français Drapeau de la France
Activité(s)Artiste peintre